Luc Salvas

C’est au milieu des années 80 que je suis tombé en amour avec le basketball. J’ai rapidement aimé la vitesse du jeu et le fait que ce sport développait différentes qualités athlétiques. Ha oui ! Pas besoin de mettre un équipement particulier pour jouer.

Des genoux amochés m’ont fait passer de joueur à entraîneur. Rapidement, j’ai découvert que je trouvais plus plaisant de donner le goût du sport aux plus jeunes que de gagner des bannières.

À cause de ces mêmes genoux, je recherchais un sport de remplacement. À l’université, j’ai trouvé que de jouer au volleyball de façon structurée était fort intéressant. De retour à Drummondville, le volleyball m’a amené au Centre Récréatif St-Jean-Baptiste et à la ligue de volleyball de Drummondville dans laquelle je joue depuis plus de 30 ans.
À la suite des confinements, je trouve important d’aider les jeunes à retrouver le goût de faire de l’activité physique. C’est pourquoi j’entraine des équipes de soccer récréatif avec les Rapides de St-Germain et que j’ai accepté de «faire» du basket et du volley le samedi matin au C.C.R.S.J.B.